Comme mentionné
précédemment dans mon blog, j’ai terminé mon baccalauréat en éducation
préscolaire et enseignement primaire en avril dernier à l’Université de
Montréal. J’avouerais que lors de mon premier stage, je n’étais pas certaine de
mon choix de carrière. Par contre, j’ai poursuivi mes études puisque je suis
une personne persévérante et qui adore les enfants. J’étais certaine que
quelque part, j’étais au bon endroit. C’est lors de mon troisième stage et mon
quatrième stage que j’ai développé mon amour pour l’enseignement. J’ai pris
confiance en moi et j’ai développé des compétences qui m’ont permis d’avoir du
plaisir. De plus, mon enseignante associée lors de mon dernier stage m’a fait
découvrir plusieurs facettes de l’enseignement que je ne connaissais pas. Aussi,
elle m’a permis de faire de l’aide aux devoirs avec des élèves de sa classe et
elle a proposé mon nom lorsque la direction cherchait une enseignante en
francisation. J’ai pris ces opportunités sans savoir dans quoi je m’embarquais
et c’est ce que j’ai préféré.
J’ai adoré aider
les élèves en petits groupes. Je trouve que nous pouvons davantage se
concentrer sur leurs difficultés et nous pouvons vraiment apporter une
différence dans leurs apprentissages. J’ai adoré voir les efforts et les
progrès qu’ils faisaient grâce à moi, c’est valorisant et très motivant
C’est un peu ce
qui m’a poussé à poursuivre mes études en faisant la maîtrise en orthopédagogie.
Je ne dis pas que je ne serais jamais enseignante dans une classe régulière,
mais ce nouveau diplôme va m’ouvrir plus de portes et me permettre de faire les
deux. Si je demeure enseignante, il ne sera jamais perdu puisqu’il va m’apporter
plusieurs connaissances sur les enfants en difficulté. Le baccalauréat ne donne
pas ou presque pas de cours en lien avec ces enfants et pourtant, ils sont
intégrés dans les classes régulières et tous les enseignants doivent travailler
avec eux.
Voilà en grande
partie pourquoi je suis à la maîtrise en orthopédagogie!!